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Rencontres MADE in VIANDE : les nouvelles mesures gouvernementales ne permettent pas le report en juin 2020
En raison du confinement lié au COVID-19, les Rencontres MADE in VIANDE, initialement prévues en mai, avaient été reportées du 17 au 21 juin 2020, sous réserve que de nouvelles mesures gouvernementales ne le remettent en cause. Or, au regard du plan strict de déconfinement annoncé le 28 avril et confirmé ce 7 mai, et suite aux échanges avec les nombreux acteurs de cet évènement, il s’avère que nous ne pouvons maintenir cette décision, qui ne serait pas un acte responsable pour notre filière. Nous sommes donc contraints d’annuler le report de MADE in VIANDE en juin prochain.
L’interprofession, en collaboration avec ses fédérations nationales et comités régionaux, étudiera la faisabilité d’un éventuel report de l’événement à l’automne 2020.
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Communiqué de presse
ACCORD COMMERCIAL UNION EUROPEENNE-MEXIQUE
EN PLEINE CRISE DU COVID 19, LA COMMISSION EUROPEENNE VALIDE L’IMPORTATION DE 20 000 TONNES DE VIANDES BOVINES MEXICAINES, AUJOURD’HUI INTERDITES POUR RAISONS SANITAIRES
Paris, le 29 avril 2020 – Mardi 28 avril, le Commissaire européen au Commerce, Phil HOGAN, s’est réjoui, dans un communiqué de presse, de la finalisation d’un accord de libre-échange modernisé entre l’UE et le Mexique. Cet accord prévoit notamment l’ouverture du marché européen à 20 000 tonnes de viandes bovines mexicaines, à droits de douane très réduits. Des viandes mexicaines qui étaient, jusqu’ici, interdites en Europe pour raisons sanitaires. Depuis le début de la crise mondiale liée au COVID 19, les institutions européennes répètent que tout doit être mis en oeuvre, dans le « monde d’après », pour préserver notre souveraineté alimentaire. Les politiques publiques agricoles européennes devront donc répondre aux objectifs du nouveau « Green Deal » et la stratégie « de la ferme à la table », définie par la Commission européenne, devra répondre à cet enjeu. Et pourtant, la Commission européenne vient de finaliser, ce mardi 28 avril, un accord commercial modernisé avec le Mexique pour ouvrir le marché européen aux viandes bovines mexicaines, à hauteur de 20 000 tonnes par an, à 7,5% de droits de douane. Et ce, alors que les viandes bovines mexicaines, qui ne présentent pas de garanties suffisantes sur le plan sanitaire, étaient jusqu’à aujourd’hui exclues des échanges commerciaux entre l’UE et le Mexique. La Commission européenne poursuit également, en ce moment même, ses discussions avec le Mercosur, l’Australie et la Nouvelle-Zélande afin d’ouvrir toujours plus le marché communautaire à des viandes d’importation ultra-compétitives, car produites dans des conditions totalement incompatibles avec les attentes des consommateurs européens et l’ambition politique affichée de protection de l’environnement et de notre « modèle » agricole. Face à ce double-discours permanent de la Commission européenne, INTERBEV, l’Interprofession Elevage et Viande, en appelle à l’intervention du Président de la République, pour : - Exiger, à Bruxelles, la suspension de toute importation de viandes bovines provenant de pays tiers pendant la période d’état d’urgence sanitaire. - Rappeler son opposition ferme et sans ambiguïté à toute validation de l’accord UE-Mercosur. - S’opposer à ce nouvel accord UE-Mexique et bloquer toute négociation en cours portant sur l’ouverture du marché européen à de nouveaux volumes de viandes bovines issues de pays tiers. Pour Dominique LANGLOIS, Président d’INTERBEV : « Nous, professionnels de la filière française de l’élevage et des viandes, avons entendu le Président de la République déclarer, au début de la crise du Covid 19, que ‘déléguer à d’autres notre alimentation serait une folie’. Nous partageons pleinement cette vision et sommes au travail, chaque jour, pour approvisionner les citoyens en viandes de qualité, en quantité suffisante. Nous attendons en retour que la France et l’Europe mettent désormais en cohérence leurs actes avec leurs discours, pour nous protéger de la concurrence déloyale de viandes importées et nous permettre de poursuivre notre mission nourricière du pays. »
Contacts presse INTERBEV : Cécile LARDILLON - 01 44 87 44 76 / 06 40 36 56 34 - c.lardillon@interbev.fr Claire LEDUC - 01 44 87 44 43 / 06 76 66 21 95 - c.leduc@interbev.fr
Document disponible via le lien externe
Communiqué de presse ADOPTION DE LA PROPOSITION DE LOI « RELATIVE A LA TRANSPARENCE DE L’INFORMATION SUR LES PRODUITS ALIMENTAIRES »
INTERBEV ET INAPORC SE FELICITENT DE L’ADOPTION DE L’ARTICLE INTERDISANT L’UTILISATION DES DENOMINATIONS ANIMALES POUR PROMOUVOIR OU COMMERCIALISER DES PRODUITS CONTENANT DES PROTEINES VEGETALES
Paris, le 28 mai 2020 – La proposition de loi « relative à la transparence de l’information sur les produits alimentaires » a été définitivement adoptée le 27 mai 2020 à l’Assemblée Nationale et, avec elle, une disposition importante visant l’interdiction de l’utilisation des dénominations animales (steak, filet, saucisse …) pour les produits contenant des protéines végétales. Les Interprofessions INTERBEV et INAPORC se félicitent de l'adoption de cette mesure législative, qui apportera, lorsqu'elle sera appliquée, un vrai progrès en matière de transparence de l'information délivrée au consommateur. C’est pourquoi, elles demandent au Gouvernement de prendre sans attendre le décret d'application de cette mesure pouvant être mise en place rapidement par la France. En effet, cette dernière n'est pas dans l'obligation d'attendre une éventuelle évolution du droit européen pour imposer cette interdiction, nécessaire afin de limiter tout risque de tromperie du consommateur, sur son marché.
A propos d’INTERBEV : INTERBEV est l’Association Nationale Interprofessionnelle du Bétail et des Viandes, fondée en 1979 à l’initiative des organisations représentatives de la filière française de l’élevage et des viandes. Elle reflète la volonté des professionnels des secteurs bovin, ovin, équin et caprin de proposer aux consommateurs des produits sains, de qualité et identifiés tout au long de la filière. Elle fédère et valorise les intérêts communs de l’élevage, des activités artisanales, industrielles et commerciales de ce secteur, qui constitue l’une des premières activités économiques de notre territoire. Afin de mieux intégrer les attentes de la société, les professionnels de cette filière se sont rassemblés autour d’une démarche de responsabilité sociétale, labellisée par l’AFNOR « engagé RSE confirmé » de niveau 3 sur 4 en juin 2018 : le « Pacte pour un Engagement Sociétal », qui vise à mieux répondre collectivement aux enjeux en matière d’environnement, de protection animale et de nutrition humaine. A propos d’INAPORC : L’interprofession nationale porcine INAPORC a été constituée en 2003. Elle rassemble les professionnels de la filière porcine : alimentation animale, élevage, organisations de producteurs, abattage-découpe, distribution et restauration collective. Son rôle est de défendre les intérêts de la filière porcine française et mettre en oeuvre des actions collectives d’intérêt général comme informer les consommateurs sur l’origine de la viande, communiquer et expliquer la filière au grand public, soutenir la recherche ou encourager l’export. En savoir plus : www.leporc.com Contacts presse INTERBEV : Cécile LARDILLON - 01 44 87 44 76 / 06 40 36 56 34 - c.lardillon@interbev.fr Claire LEDUC - 01 44 87 44 43 / 06 76 66 21 95 - c.leduc@interbev.fr Contact presse INAPORC : 01 44 93 60 00 – inaporc@inaporc.asso.fr
Communiqué de presse : TRÈS IMPACTÉE PAR LA CRISE DU COVID-19, LA FILIÈRE VIANDE CAPRINE FRANÇAISE RESTE FORTEMENT MOBILISÉE POUR MAINTENIR SON ÉQUILIBRE Paris, le 18 juin 2020 – Du fait de sa très forte saisonnalité en termes de mise en marché, la filière française de viande de chevreau a subi de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire liée au Covid-19. Depuis, elle reste plus que jamais mobilisée pour soutenir les opérateurs au travers d’actions concrètes. Pâques 2020 : le pire a été évité grâce aux premiers dispositifs de soutien Dès le 16 mars et dans le but de maintenir la continuité de la filière, INTERBEV Caprins a réuni les opérateurs concernés afin que les abattages des chevreaux soient assurés au moins jusqu’au 15 mai et éviter que certains ne restent dans les fermes sans débouché. Par ailleurs, les responsables de la distribution ont incité les magasins à mettre avant la viande de chevreau dans les rayons boucherie et l’Interprofession a également conçu des outils promotionnels pour valoriser le produit en points de vente. Enfin, dès le 19 mars, la section caprine d’INTERBEV a alerté le ministre de l’Agriculture sur la situation de la filière et a demandé à deux reprises des soutiens : d’une part, pour les éleveurs-engraisseurs afin de compenser la baisse des cours et leur permettre de pérenniser cette activité devenue indispensable à la filière caprine et d’autre part, pour qu’une aide au stockage de viande soit mise en place. Cependant, la prise en considération de ces demandes n’a pas été à la hauteur des espérances des professionnels de la filière caprine et les difficultés demeurent. Vers un plan d’action stratégique de la filière caprine Les actions engagées et la mobilisation de la filière ont permis de maintenir sa continuité mais d’une part, au prix de la fragilisation du secteur de l’engraissement et d’autre part, de la constitution de stocks importants de viande. A ce jour, les 3 entreprises du secteur (Loeul et Piriot, Ets Ribot et Palmid’Or) supportent environ 500 tonnes de surstock ; le désengorgement de la filière caprine devient donc aujourd’hui une priorité. Sans solution de débouché, ces volumes vont peser sur l’équilibre des entreprises et très certainement hypothéquer les saisons à venir et ce dès le mois de septembre 2020. En concertation avec les entreprises, leur fédération et la FNEC (Fédération Nationale des Eleveurs de Chèvres), la section caprine d’INTERBEV travaille donc désormais à essayer d’identifier de nouveaux marchés comme les pays tiers et à compenser la perte de valeur des stocks de viande. Les professionnels de la filière viande caprine réunis le 16 juin, après avoir renouvelé leurs inquiétudes sur ses capacités à absorber les chevreaux qui arriveront sur le marché dès le 15 septembre, se sont accordés sur la nécessité d’une réflexion prospective avec l’ensemble des acteurs de la filière caprine française pour faire évoluer durablement la filière chevreau. Cette dernière doit rapidement engager ce travail autour de 3 axes : L’organisation et la structuration de la filière, la gestion des flux et la saisonnalité ; La transparence des coûts et la recherche de valeur ajoutée ; La recherche de nouveaux débouchés, la qualité et la présentation des produits, la présence en rayons et l’adaptation aux nouveaux modes de consommation. Pour toute demande d’entretien avec Franck Moreau, président d’INTERBEV Caprins, n’hésitez pas à contacter le service presse d’INTERBEV A propos d’INTERBEV : INTERBEV est l’Association Nationale Interprofessionnelle du Bétail et des Viandes, fondée en 1979 à l’initiative des organisations représentatives de la filière française de l’élevage et des viandes. Elle reflète la volonté des professionnels des secteurs bovin, ovin, équin et caprin de proposer aux consommateurs des produits sains, de qualité et identifiés tout au long de la filière. Elle fédère et valorise les intérêts communs de l’élevage, des activités artisanales, industrielles et commerciales de ce secteur, qui constitue l’une des premières activités économiques de notre territoire. Afin de mieux intégrer les attentes de la société, les professionnels de cette filière se sont rassemblés autour d’une démarche de responsabilité sociétale, labellisée par l’AFNOR « engagé RSE confirmé » de niveau 3 sur 4 en juin 2018 : le « Pacte pour un Engagement Sociétal », qui vise à mieux répondre collectivement aux enjeux en matière d’environnement, de protection animale et de nutrition humaine.
Bonjour à tous,
Pour cette année on vous demande un reportage de 5 minutes.
Il devra porter sur une installation Hors cadre Familiale OU une installation « atypique » mais qui est intégrer en filière longue.
L’objectif est la production de reportage sur des installations hors cadre familial, ces reportages permettront de présenter au grand public et aux porteurs de projets les différentes possibilités d‘installation lorsque l’on est hors cadre familial.
Vous trouverez le cahier des charges ci dessous.
Attention aux règles du jeu:
Les dossiers devront être envoyés aux animateurs de régions et à l.berthelot@interbev.fr avant le 18h, le lundi 18 janvier 2021, et seront envoyés par we-transfert en format MP4,
un dossier contient:
Cliquez sur "lien externe" pour le cahier des charges
on reste à votre disposition pour plus d’information : l.berthelot@interbev.fr
http://www.inn-ovin.fr/ovinpiades-des-jeunes-bergers/
Face aux nouvelles mesures sanitaires, La Société d'Agriculture, soucieuse de maintenir une économie au sein de la filière bovine charolaise, a dû remodeler l'organisation du Festival du Boeuf 2020. Le Festival sera donc restreint au Concours de Bovins de Boucherie sans autres festivités. VENDREDI 4 DECEMBRE 2020 AU CHAMP DE FOIRE DE ST CHRISTOPHE EN BRIONNAIS ACCES RESERVE UNIQUEMENT AUX PROFESSIONNELS - VENTE DES ANIMAUX A PARTIR DE 14H
Madame, Monsieur, Le plan de relance annoncé par le gouvernement le 03 septembre comporte un important volet de 1,2 milliards d'euros consacré à la transition agricole, alimentaire et forestière. Des mesures spécifiques déclinées dans un « plan de modernisation des abattoirs » vont permettre de renforcer la compétitivité de ces structures tout en répondant aux exigences croissantes des consommateurs en faveur d'une alimentation sure, saine et attentive du bien-être animal. Ainsi 130 millions d'€ seront consacrés à l'échelle nationale aux abattoirs, ce qui devrait représenter pour la région Bourgogne Franche- Comté une enveloppe d'environ 6 millions d'euros. L'appel à projets devrait être lancé très rapidement, début décembre, avec des délais vraisemblablement très courts pour déposer les dossiers. Aussi, il est indispensable que chaque structure qui souhaite bénéficier des crédits du plan de relance anticipe très rapidement ses besoins d'accompagnement financier, sur des projets matériels ou immatériels (étude, formation, ..). Vous trouverez ci-joint la présentation qui a été faite le 15 octobre par France Agrimer auprès de vos représentants professionnels et qui précise les grandes lignes de l'appel à projet à venir. Ces informations sont reprises ici : https://www.economie.gouv.fr/plan-de-relance/profils/entreprises/modernisation-abattoirs. Nous attirons en particulier votre attention sur les dépenses éligibles relatives à la protection animale : aménagement des espaces d'attente, d'amenée, d'abattage (matériel et locaux) et les dépenses immatérielles d'aide à la formation à la protection animale. En outre, pour les établissements d'abattage non agréés (EANA), ces financements pourraient être l'opportunité d'évoluer vers un agrément sanitaire. Le Premier Ministre a rappelé qu'un des facteurs de réussite du plan de relance sera son ancrage dans les dynamiques territoriales en rendant possible la consommation rapide de crédits, dans un objectif d'efficacité, d'adaptabilité, d'équité et de cohésion. Nous invitons donc les exploitants des abattoirs d'animaux de boucherie, d'abattoirs de volailles (y compris les EANA) à saisir cette opportunité, et s'ils ne l'ont pas encore fait, à se rapprocher de leur DDT ou de leur DDcsPP pour leur transmettre rapidement à minima une note de synthèse d'une page décrivant leurs besoins en précisant : - le contour du projet en lui-même, - les retombées positives attendues (au-delà même de l'aspect modernisation , les investissements proposés pourraient avoir trait aussi à la transition agro écologique, l'alimentation locale, la dynamique territoriale, ...), - l'état d'avancement du projet, - les échéanciers de réalisation, - les besoins d'accompagnement financier (quels postes : investissements, fonctionnement, ..) - les montants du projet Ces projets seront transmis au comité de pilotage régional qui se réunit chaque semaine autour du Préfet de Région. Vos directions départementales de la protection des populations et des territoires sont vos interlocuteurs locaux. Les services de la DRAAF restent également à votre disposition pour toute explication complémentaire, aux adresses suivantes : sral.draaf-bourgogne-franche-comte@agriculture.gouv.fr ; srea.draaf-bourgogne-franche-comte@agriculture.gouv.fr Bien cordialement.
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Secrétariat de Direction Tél : 03.80.39.30.13
http://draaf.bourgogne-franche-comte.agriculture.gouv.fr
04 décembre 2020 Chargé(e) de mission Communication, circuits de distribution (RHD, boucheries artisanales…)
STRUCTURE : · Interprofession bétail et viande, comité régional Bourgogne Franche-Comté MISSIONS DU POSTE DE CHARGE(E) DE MISSION : · Proposer, animer, déployer, et évaluer les campagnes de communication menées auprès des professionnels des circuits de distribution des viandes : boucherie artisanale, grande distribution, restauration hors domicile, · Être l’interlocuteur régional sur le développement de l’approvisionnement en viandes régionales en restauration hors domicile (partenariats, déploiements de formations et des outils techniques de l’interprofession), · Conception, réalisation et mise en oeuvre des actions de communication et de promotion (web, édition, newsletter, événement, enquête, réseaux sociaux, …). · L’animation de la filière et le travail en lien avec les partenaires (administration, élus, OPA, …) dans le but d’émettre une image positive de l’interprofession. · La circulation de l’information et l’entretien d’une dynamique collective auprès des professionnels. · Représente ou fait représenter l’interprofession viande dans les manifestations, foires et salons visant à la promotion des produits, des métiers et des filières.
QUALITES ET COMPETENCES REQUISES · Dynamique, volontaire, curieux et autonome, force de proposition, aisance à l’oral · Aptitudes à l’organisation (gestion simultanée de plusieurs projets, respect des délais) · Avoir des compétences et des connaissances du fonctionnement filière et/ou productions animales. · Disposer d’une bonne pratique et expérience rédactionnelle · Maîtriser de façon opérationnelle les outils et actions de communication : communication événementielle, relations presse, écoute et prospective, communication de changement et de crise… · Maîtriser les logiciels bureautiques et aisance à l’usage des outils digitaux (réseaux sociaux, montages vidéo…)
CONDITIONS · CDI temps plein (39h/sem), statut cadre · Poste à pourvoir début février 2021 · Niveau Bac +3/4 (agri/agro) ou expérience significative équivalente, profil junior accepté · Salaire selon expérience · Poste basé à Bretenière avec des déplacements sur la Région Bourgogne Franche-Comté et ponctuels sur Paris. · Permis B obligatoire avec véhicule personnel · Candidature par mail contact@interbev-bourgognefranchecomte.fr avec CV + lettre de motivation avant le 31 décembre 2020 – entretien prévu début janvier.
CONSOMMATION DE VIANDE ROUGE : LES FRANÇAIS SE SONT DEJA MIS AU VERT DANS LEUR ASSIETTE Lundi 7 janvier 2019 – Une nouvelle campagne baptisée « Lundi Vert » est lancée ce jour afin d’inciter les Français à remplacer désormais la viande et le poisson chaque lundi. Pourtant, contrairement à ce que l’on pourrait croire, les Français ne mangent pas de la viande rouge à tous les repas : aujourd’hui, les chiffres de consommation équivalent à près de 4 jours par semaine sans viande rouge. En effet, selon le Credoc – enquête CCAF 2016, les Français ne consomment en moyenne plus que 2 à 3 fois de la viande rouge par semaine (ou viande hors volaille1 ), soit l’équivalent de 320 grammes de viande cuite par semaine et par personne. Ainsi, 80% des adultes ont une consommation parfaitement conforme aux préconisations de santé publique : ils mangent moins de viande hors volaille que le seuil de 500 g de viande rouge cuite par semaine recommandé en matière de prévention2,3. Par ailleurs, comme le souligne le WCRF4 dans ses dernières recommandations de prévention des cancers, la viande participe à l’équilibre alimentaire grâce à ses nutriments essentiels et variés tels que les protéines, le fer, le zinc, le sélénium et les vitamines du groupe B. Elle contribue à structurer le repas car elle ne se mange pas seule : elle s’accompagne de légumes ou de féculents dont les apports en nutriments sont complémentaires. D’un point de vue environnemental, le modèle d’élevage français présente aussi plusieurs atouts trop souvent peu connus, y compris en matière de réduction de son impact sur le changement climatique. Les bovins sont essentiellement nourris à l’herbe et 90% de l’alimentation des troupeaux provient de l’exploitation elle-même. L’herbe de ces prairies pâturées par les animaux, capte du carbone sous forme de CO2 et le stocke durablement dans ses sols, compensant ainsi plus de la moitié des émissions de méthane des ruminants. Les prairies d’élevage ont par ailleurs de nombreux bénéfices paysagers et environnementaux, préservant la qualité de l’eau, la qualité des sols et abritant une biodiversité supérieure à la moyenne. Des experts de la FAO ont d’ailleurs dernièrement revalorisé l’élevage d’herbivores en matière d’alimentation durable. Une filière engagée depuis 2017 dans une démarche de responsabilité sociétale Depuis 2017, toute la filière Elevage et Viande s’est fédérée autour d’une démarche collective de responsabilité sociétale : le Pacte pour un Engagement Sociétal. Véritable socle commun à tous les professionnels, ce Pacte incarne leurs valeurs et leurs initiatives pour une production encore plus responsable et durable. Les engagements sur les thématiques environnementales, sociales, nutritionnelles et de protection animale ont d’ailleurs été labellisés par l’AFNOR en 2018, valorisant ainsi les progrès menés par les professionnels de la filière française Elevage et Viande. Ainsi, en choisissant des viandes portant la signature « Viandes de France », les consommateurs ont la garantie de viandes issues de nos territoires et de modes de production plus durables. 1 La viande hors volaille correspond aux viandes de boeuf, de veau, d’agneau, de porc (hors charcuterie), à la viande chevaline, caprine et aux autres viandes sans précision. 2 Anses, Actualisation des repères du PNNS : révision des repères de consommations alimentaires, décembre 2016 WCRF (World Cancer Research Fund), Diet, Nutrition, Physical Activity and Cancer: a Global Perspective (Third Expert Report), may 2018 3,4 WCRF ), Diet, Nutrition, Physical Activity and Cancer: a Global Perspective (Third Expert Report), may 2018 Contacts presse INTERBEV :
Cécile LARDILLON - 01 44 87 44 76 - c.lardillon@interbev.fr Claire LEDUC - 01 44 87 44 43 – c.leduc@interbev.fr A propos d’INTERBEV INTERBEV est l'Association Nationale Interprofessionnelle du Bétail et des Viandes, fondée en 1979 à l'initiative des organisations représentatives de la filière bétail et viandes. Elle reflète la volonté des professionnels des secteurs bovin, ovin, équin et caprin de proposer aux consommateurs des produits sains, de qualité et identifiés tout au long de la filière. Elle fédère et valorise les intérêts communs de l'élevage, des activités artisanales, industrielles et commerciales de ce secteur qui constitue l’une des premières activités économiques de notre territoire. En savoir plus : www.la-viande.fr / www.interbev.fr
L'Atlas de l'élevage herbivore de Bourgogne Franche-Comté est enfin disponible en téléchargement sous format PDF sur le site www.la-viande.fr :
Lien ci-dessous :
http://www.la-viande.fr/environnement-ethique/atlas-regionaux/atlas-bourgogne-franche-comte
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Du 26 au 30 janvier 2019, INTERBEV BFC était au SIHRA à Lyon en partenariat avec INTERBEV National, INTERBEV AURA et INTERBEV PACA-Corse. Ce salon était l’occasion d’échanger avec les professionnels de la restauration et de l’alimentation. Sur le stand, différents thèmes étaient abordés : la cuisson à basse température, l’engagement à la démarche « Viande Bovine Française », la restauration hors domicile, les fiches techniques d’achat en restauration collective,… et une diététicienne était présente pour répondre aux interrogations des uns et des autres accompagnée d’un animateur et de cuisiniers.
Le bulletin mensuel d'information INTERBEV BFC de janvier 2019 est disponible.
N"hésitez pas à aller le lire sur notre page Facebook ou à nous en faire la demande par mail : contact@interbev-bourgognefranchecomte.fr
Dis-moi ce que tu manges…
Résultats de l’étude IPSOS/INTERBEV sur les attitudes et tendances alimentaires des Français
Alors que l’on observe d’importantes mutations dans les modes de consommation des Français, qu’en est-il plus précisément de leurs habitudes alimentaires ? Quelles valeurs rattachent-ils à ce moment symbolique qu’est le repas ? Et comment envisagent-ils d’évoluer dans les années à venir ? Consciente de la portée de ces interrogations, INTERBEV (Interprofession Elevage et Viande) a souhaité approfondir le sujet. C’est pourquoi, elle a confié à IPSOS la réalisation d’une étude intitulée « Les attitudes et tendances alimentaires des Français », dont voici les principaux enseignements.
Le repas des Français : naturellement équilibré et source de plaisir L’étude Ipsos souligne en premier lieu que les Français consomment tous les types d’aliments, et ce, en quantités raisonnables, ce qui leur permet d’avoir un régime équilibré. En ce qui concerne la viande (boeuf, veau, agneau et porc), ils en mangent un peu plus de 3 fois par semaine, en parfaite cohérence avec les recommandations des instances de santé publique. En revanche, ils surévaluent fortement la consommation de viande de leurs compatriotes, en la situant au double de la réalité. Côté perception, pour les Français, l’alimentation est avant tout une source de plaisir (55%) et synonyme de bonne santé (49%). D’ailleurs, si leurs critères de choix s’avèrent nombreux, ils illustrent parfaitement ces deux notions phares. En effet, ils prêtent attention notamment à la qualité des aliments qu’ils achètent (83%), à leur impact sur la santé (77%), à l’origine de ces produits (76%), à l’équilibre alimentaire (76%), à la variété dans l’assiette (72%) ou encore au respect de la planète et de la biodiversité (61%). L’étude aborde également un aspect plus culturel : l’importance des repas. Ainsi, elle montre que, dans leur grande majorité (85%), les Français cuisinent régulièrement leurs repas eux-mêmes avec des produits non transformés. Pour eux, il s’agit d’un moment de partage et de convivialité (65%), auquel ils sont très attachés. De plus, nombre d’entre eux sont persuadés que leur alimentation actuelle concilie plusieurs de leurs exigences : se faire vraiment plaisir (82%), avoir tous les apports nutritifs essentiels (77%), préserver leur santé et leur bien-être (76%) ou encore respecter l’environnement (58%).
En moyenne, les Français indiquent manger… :
- De la viande un peu plus de 3 fois par semaine
- De la volaille un peu plus de 2 fois par semaine
- Du poisson un peu moins de 2 fois par semaine
-Des oeufs environ 2 fois par semaine
- Des fruits quasiment 1 fois par jour
- Des légumes quasiment 1 fois par jour
- Des féculents un peu plus de 5 fois par semaine
Les Français, omnivores éclairés… Et flexitariens sans le savoir ? L’étude IPSOS est formelle : les Français sont des omnivores et entendent le rester. Actuellement, 96% des personnes interrogées déclarent manger de tout, y compris de la viande et du poisson. Les résultats montrent également que le rapport des Français entretenu avec leur alimentation évolue depuis un certain nombre d’années. Ils s’intéressent beaucoup à ce sujet, s’inquiètent des conséquences de leurs comportements et modes de consommation, prennent conscience de l’impact de leur alimentation sur leur santé : en bref, ils se montrent plus responsables. D’ailleurs, les Français sont très attentifs à ce qu’ils inculquent à leurs enfants. ainsi, pour une majorité d’entre-eux les valeurs prioritaires à transmettre aux générations futures sont l’équilibre alimentaire et la consommation de produits de qualité, issus de filières durables. Finalement, les Français ne seraient-ils pas des flexitariens qui s’ignorent ? En effet, 65% d’entre eux n’ont jamais entendu parler de flexitarisme. INTERBEV a interrogé des experts qui se sont déjà exprimés sur ce mouvement émergeant. Selon eux, le flexitarien pourrait se définir comme l’omnivore du XXIe siècle c’est-à-dire un consommateur éclairé, qui mange de tout, en quantité raisonnée et en privilégiant la qualité.
LE FLEXITARISME : paroles d’experts
Francis WOLFF, philosophe : « On pourrait donner plusieurs définitions du flexitarisme, que certains rapprochent volontiers du végétarisme. Dans une acception plus large qui concerne la consommation de viande, cette tendance consiste à consommer des produits de qualité, de façon éclairée et raisonnable. »
Raphaël GRUMAN, diététicien : « J’observe des évolutions dans nos modes de vie, comme la volonté croissante de protéger l’environnement, d’améliorer son bien-être, notamment en s’intéressant à l’origine des aliments ou à leurs méthodes de production. En réalité, il faut se fier au bon sens et préférer les produits bruts qu’on prépare soi-même. »
Eric BIRLOUEZ, sociologue : « Ma conviction, c’est que le flexitarisme est l’avenir de la viande dans les pays riches : nous pouvons concilier modération, qualité et plaisir, en accord avec les nouvelles aspirations sociétales… comme certains de nos concitoyens le font déjà. »
Jean-Louis PEYRAUD, scientifique (INRA) : « Consommer différemment implique de produire autrement, en mettant toujours plus en valeur des pratiques respectueuses d’un système tourné vers l’agroécologie. En l’occurrence, ce choix se traduit déjà dans les orientations que prennent les filières ou encore les États Généraux de l’Alimentation. »
Frédéric DENHEZ, écrivain et journaliste : « Aujourd’hui, on se distingue plutôt en privilégiant la qualité à la quantité et cette dimension culturelle me semble très importante. Acheter de la viande de qualité, c’est aussi favoriser les exploitations respectueuses de l’animal, de la nature, ainsi que des producteurs. Et cela a un prix. »
Les principales valeurs à transmettre aux plus jeunes :
- Manger équilibré à 50%
- Consommer des produits de qualité et issus de filières durables à 43%
Consommer mieux de façon responsable à 42%
- Continuer à avoir une alimentation variée à 42%
Point commun de ces différents témoignages : une quête du « Manger mieux », qui est pleinement partagée par la filière française Elevage et Viande, dont les professionnels sont d’ailleurs engagés dans un modèle de production responsable et durable, ce que reconnaissent déjà les Français. En effet, l’étude IPSOS révèle que ces derniers ont une bonne image de la filière. Ils apprécient, entre autres, le savoir-faire des éleveurs qui garantit des produits de qualité (84%), les contrôles sanitaires rigoureux effectués des lieux de production jusqu’aux points de vente (74%), ainsi que toute l’attention portée au bien-être animal (63%).
Vous pouvez dès à présent vous inscrire pour participer aux rencontres MADE in VIANDE !
Vous souhaitez ouvrir les portes de votre exploitation, de votre boucherie, de votre abattoir,... pour permettre au grand public de découvrir la filière bovine : ces journées sont faites pour vous ! Elles se dérouleront du 22 au 29 mai 2019.
Inscrivez-vous vite sur : http://www.la-viande.fr/made-in-viande
Marie-Guite Dufay, Présidente de Région Bourgogne-Franche-Comté, s’associe à Christian Decerle, Président de la Chambre d’agriculture régionale, pour faire connaître la cause des agriculteurs par le plus grand nombre et dénoncer l’ « agriculture bashing ».
Ils ont pensé à vous et souhaitent vous associer aux signataires d’une tribune que vous trouverez ci-dessous. Elle sera publiée à l’occasion du Salon de l’agriculture (fin février).
Une signature large associant votre nom donc vos engagements et vos réalisations sera de nature à assurer une plus forte audience ces enjeux.
Accepteriez-vous de signer cette tribune ?
Restant à votre disposition.
Meilleurs salutations »
Pour envoi de votre soutien, prendre contact avec François Roze : francois.roze@bfc.chambagri.fr
Notre agriculture : une grande cause nationale, une responsabilité de tous les Français
L’ « agriculture bashing » n’est plus supportable. Il faut qu’il cesse.
Notre agriculture traverse une grave crise depuis de nombreuses années. Elle souffre et se fragilise. Il n’y a jamais eu autant d’angoisse qu’aujourd’hui, chez les agriculteurs, à l’idée de ne pas pouvoir faire face. En plus des difficultés structurelles, les conséquences des aléas climatiques fragilisent encore notre agriculture qui est touchée cette année par une sécheresse historique qui mettra à mal pour plusieurs mois de très nombreuses exploitations françaises.
Cela n’empêche pas la profession agricole de multiplier les efforts pour surmonter la crise des prix en allant vers plus de valeur ajoutée et celle de l’environnement en s’orientant vers une réduction de l’impact sur les sols et le biotope. Elle continue d’évoluer pour s’adapter, avec des techniques et des pratiques nouvelles, chaque jour, dans l’objectif de produire mieux pour mieux manger. Elle investit dans le matériel et l’immatériel pour s’adapter au changement climatique qui s’est imposé comme la première priorité planétaire, dans le développement d’énergies renouvelables comme la méthanisation ou dans les filières courtes et les circuits de proximité, dans l’optimisation des pratiques, la réduction de leur impact sur l’environnement avec les pratiques agroécologiques. Car l’agriculture d’avenir que nous prônons doit être performante économiquement et écologiquement.
Nous sonnons l’alarme car dans cette atmosphère de crise, pour la première fois dans l’Histoire, le lien est rompu entre les agriculteurs et l’opinion majoritairement urbaine et de plus en plus coupée du monde paysan. Nous sommes face à une crise morale sans précédent qui est aggravée par des campagnes de disqualification, de médisance et des attaques irresponsables qui nourrissent l’ « agriculture bashing », semant le trouble dans l’esprit de nos concitoyens.
Nous voulons en signant cette tribune alerter l’opinion sur les dérives et les amalgames. Nous refusons les expressions qui se font au prix de l’illégalité et de l’atteinte à l’intégrité physique et morale des agriculteurs. Nous voulons dire fermement notre refus des confusions qui s’installent, de la sourde indifférence et stopper la diffusion du venin du préjugé.
Non, les agriculteurs ne sont pas responsables des scandales sanitaires de l’industrie de la transformation dès lors qu’ils ne maitrisent hélas que trop peu le devenir de leur production. Non, les agriculteurs ne sont pas des tortionnaires de leurs animaux, des empoisonneurs de l’alimentation, et ne se résument pas à des consommateurs d’argent public…
Nous considérons qu’il est sain et souhaitable que les impacts sociaux et environnementaux de notre agriculture interrogent, ainsi que la qualité des produits et la relation de l’homme à l’animal. Mais justement, décider d’être agriculteur, c’est avant tout choisir le lien à la nature, la passion des animaux, ressentir l’émotion de labourer, ensemencer, de récolter, de vinifier.
La civilisation est née par et de l’agriculture. La France possède une des plus belles agricultures du monde et des produits de qualité qui font notre image dans le monde, notre « art de vivre », comme nos vins ou nos fromages, nos repas gastronomiques classés au Patrimoine mondial de l’Unesco. Notre pays est modelé par des millénaires de travail, pour gagner sur la nature sauvage des espaces de dialogue entre l’homme et son milieu. Champs de céréales à perte de vue, vignes suspendues à des talus, troupeaux sur les coteaux bocagers, maraîchage et vergers en fleurs ou en fruits, villages vivants… C’est cela, la France agricole. La France agricole, c’est aussi le défi relevé de nourrir l’exode rural pour écrire parmi les plus belles pages de l’essor industriel français et la contribution à la reconstruction d’après-guerre pour gagner l'indépendance alimentaire du pays en mettant fin aux « tickets de pain » et en contribuant à l’augmentation de notre espérance de vie par une meilleure qualité alimentaire.
A-t-on bien imaginé les conséquences d’une France sans paysan ? Une France qui perdrait sa souveraineté alimentaire ? Notre pays doit prendre soin de ses derniers paysans. Chacun est responsable. Consommateurs, filières de l’agroalimentaire, associations, médias, organisations professionnelles, enseignement agricole, collectivités et administrations de l’Etat et de l’Union européenne. Toute la classe politique, quant à elle, quel que soit l’échelon et sans considération de sensibilité, doit redéfinir une vision ambitieuse pour l’agriculture française.
L’agriculture est notre patrimoine à tous et nos agriculteurs méritent notre respect et notre reconnaissance. Nous avons le devoir de les soutenir. Nous avons un devoir de reconnaissance envers nos agriculteurs.
Le bulletin mensuel d'information INTERBEV BFC de février 2019 est disponible.
« Boeuf Comtois » - La campagne d’affichage 2019 a commencé !
Avec le Boeuf Comtois, Savourez une vraie tranche de Franche-Comté ! Au service des consommateurs depuis 2012, la filière propose une viande authentiquement régionale, issue d’animaux nés, élevés et abattus en Franche-Comté, identifiée par la marque originale « Boeuf Comtois ». Chacun peut la retrouver chez les commerçants et les bouchers adhérents ainsi que dans un nombre de plus en plus important de restaurants et de collectivités. En la choisissant, vous avez l’assurance d’acquérir une excellente viande produite à proximité, dans le respect des savoir-faire, et de contribuer à maintenir une activité économique localement.
Vous pourrez retrouver cette invitation sur les panneaux d’affichage des principales villes de la région à Besançon du 25 mars au 3 avril Dole du 20 au 26 mars Vesoul du 21 au 27 mars Montbéliard du 2 au 8 avril Belfort du 18 au 28 mars Pontarlier du 23 au 28 mars
Le bulletin mensuel regroupant toute l'actualité d'INTERBEV BFC est arrivé ! N'hésitez pas à vous rendre sur notre page Facebook @interbevbfc pour en le lire ou à nous faire la demande par mail contact@interbev-bourgognefranchecomte.fr
La 5ème édition des Rencontres Made in Viande se déroulera du 22 au 29 mai. Ces journées sont l’occasion pour chaque professionnel de la filière d’ouvrir ses portes au grand public et de présenter son métier. Ces rencontres se font à l’échelle nationale et sont relayées sur les médias nationaux, régionaux et départementaux. Vous pouvez organiser une rencontre sur une journée ou sur toute la période, à vous de choisir !
Pour participer aux rencontres Made in Viande, il vous suffit de vous inscrire sur le site internet www.madeinviande.fr. Après validation de votre proposition de rencontre, un kit de communication vous sera envoyé début mai. Lors de votre inscription, n’oubliez pas d’ajouter une photographie, c’est toujours plus attrayant.
ATTENTION, les inscriptions seront clôturées le 24 AVRIL 2019 !
Rendez-vous sur le site www.madeinviande.fr pour découvrir les portes ouvertes qui auront lieu dans votre département lors des Rencontres Made In Viande du 22 au 29 mai !
Canada / CETA : la règlementation concernant l’utilisation d’antibiotiques a changé Depuis le mois de décembre 2018, tous les producteurs bovins au Canada ont besoin d’une ordonnance pour acheter l’ensemble des antibiotiques autorisés pour le bétail. Jusque-là, c’était uniquement le cas au Québec. Dans les autres Provinces, le producteur pouvait, à titre d’exemple, directement commander son antibiotique sans ordonnance à son marchand d’aliments. Ce changement s’applique à tous les maillons de l’élevage de bovins : éleveurs naisseurs, engraisseurs mais aussi exploitants de parcs d’engraissement (feedlots). La nouvelle politique ne s’applique pas uniquement aux produits injectables, mais inclut également certains bolus, des traitements contre la diarrhée du veau, des antibiotiques en premix… Concrètement, l’industrie pharmaceutique a dû retirer toutes les allégations directes sur les effets de stimulation de croissance. En revanche, les allégations indirectes (ex : aide au maintien du GMQ en cas de maladie) sont toujours permises. La nouvelle règlementation n’interdit donc pas l’utilisation d’antibiotiques comme facteur de croissance mais oblige à passer par une prescription vétérinaire, ce qui sera plus limitant pour les éleveurs, mais aussi pour les vétérinaires potentiellement menacés de mauvaise pratique en cas de prescription non justifiée.
Brexit : flou sur le calendrier Le Conseil européen du 10 avril a convenu d'un report du Brexit à la demande du Royaume-Uni dans l’espoir de permettre la ratification de l'accord de retrait par le Parlement britannique. Cette prorogation durera le temps nécessaire mais ne pourra pas dépasser la date du 31 octobre 2019. Si l'accord de retrait est ratifié par les deux parties avant cette date, le retrait interviendra le premier jour du mois suivant. Si le Royaume-Uni est encore membre de l'UE fin mai au moment de l’élection du Parlement européen, il sera tenu de procéder au vote. S’il ne le fait pas, le retrait interviendra sans accord le 1er juin 2019. La négociation sur un futur accord commercial ne débutera pas pendant cette période.
Etats-Unis : feu vert européen pour le début des négociations Le 15 avril 2019, le Conseil a adopté les directives de négociation commerciales avec les États-Unis. Trois mois après la présentation des mandats (cf. lettre n°50), la Commission peut désormais entamer officiellement les discussions. Les directives de négociation portent sur deux accords potentiels avec les États-Unis : un accord commercial se concentrant strictement sur les produits industriels, à l'exclusion des produits agricoles ; un deuxième accord sur l'évaluation de la conformité, permettant aux entreprises de prouver plus facilement que leurs produits satisfont aux exigences techniques de part et d'autre de l'Atlantique. Une analyse économique ex ante réalisée par la Commission européenne en février dernier estime qu'un accord entre l'UE et les États-Unis avec suppression des droits de douane sur les produits industriels pourrait augmenter les exportations de l'Union vers les États-Unis de 8 % et les exportations étatsuniennes vers l'Union de 9 % d'ici à 2033. Cela correspondrait à des gains supplémentaires de 27 milliards d'euros et de 26 milliards d'euros, respectivement, dans les exportations de l'Union et des États-Unis. Mais tout cela reste bien évidemment très hypothétique ! Ces négociations font suite à la déclaration conjointe UE/USA en juillet dernier qui a également entraîné une hausse des importations européennes de soja et de gaz naturel liquéfié (GNL) depuis les Etats-Unis. Les points majeurs de discorde restent l’automobile et l’agriculture. Les menaces étasuniennes sur les envois d’automobiles européennes n’y ont rien fait (cf. lettre n°51) : l’agriculture reste pour le moment exclue des négociations. De plus, les droits de douane que Trump menace d’imposer sur le secteur automobile communautaire pourraient avoir un impact limité sur la zone Euro. La Banque centrale européenne (BCE) a réalisé une étude de ce qui se passerait si Trump imposait des droits de douane sur les importations d'automobiles. Le résultat semble moins problématique que prévu : les effets immédiats sur le secteur automobile de l’UE seraient plutôt faibles. Selon les estimations de la BCE, l'industrie automobile subirait une perte de 4% de sa valeur ajoutée dans la zone euro (mais jusqu’à 10% pour le Japon). D’après l’étude, « l'impact sur la zone Euro dans son ensemble serait faible, même en tenant compte des effets négatifs sur l’ensemble des chaînes d'approvisionnement ».
Chine : relations toujours plus compliquées avec les Etats-Unis ; déclaration conjointe avec l’UE Le 9 avril dernier, en marge de leur 21ème Sommet, l’UE et la Chine ont publié une déclaration commune précisant les contours des futures relations commerciales entre les deux parties. L’objectif affiché de l’UE est de « rééquilibrer le partenariat stratégique ». Dans la déclaration conjointe, si les deux partenaires commerciaux réaffirment leur soutien au système multilatéral de l’OMC, ils posent les jalons de l’avenir de leurs relations bilatérales, commerciales notamment. Les deux parties ont convenu d’intensifier en 2019 les discussions autour d'un accord global d'investissement UE-Chine. L’objectif affiché est de conclure cet accord en 2020. Les principales thématiques qui seront abordés sont l'accès au marché, l'élimination des exigences et des pratiques discriminatoires affectant les investisseurs étrangers, la protection des investissements ou encore l'inclusion de dispositions relatives au développement durable. Un comité de suivi politique des négociations sera mis en place : un rapport sur les progrès réalisés sera adressé aux dirigeants d'ici la fin de l'année. En parallèle, la Chine et l’UE annoncent vouloir promouvoir leurs échanges bilatéraux de produits agroalimentaires dans le respect des normes internationales en matière sanitaire et phytosanitaire, en particulier du principe de zonage des épizooties prévu par l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE). En attendant, un accord provisoire a été conclu sur un texte d'accord sur les indications géographiques (IG) et sur la protection de certaines IG. Les dirigeants se sont engagés à collaborer pour régler les questions encore en suspens afin de conclure les négociations sur cette question avant la fin de l’année. Les relations de la Chine sont bien plus compliquées avec les Etats-Unis. En effet, le 5 mai, face à des négociations jugées trop lentes, Donald Trump a menacé à nouveau d’augmenter des droits de douane sur les produits en provenance de Chine. « Pendant 10 mois, la Chine a payé des taxes douanières aux États-Unis à hauteur de 25% sur 50 milliards de dollars de [biens] technologiques, et 10% sur 200 milliards de dollars d'autres biens ». Le président étasunien a annoncé que « les 10% vont être relevés à 25% » le 10 mai prochain afin d'inciter le gouvernement chinois à agir plus rapidement pour parvenir à un accord commercial. Cette hausse de 10% à 25% avait déjà été programmée pour la fin 2018, mais un délai avait alors été accordé pour donner du temps aux négociations. La semaine précédant cette annonce, le Secrétaire au commerce des Etats-Unis, Robert Lighthizer, et le Secrétaire au Trésor, Steven Mnuchin, s’étaient rendus à Pékin pour faire avancer ces discussions, sans résultat. L’annonce visait probablement à mettre la pression sur le vice-Premier ministre chinois Liu He qui était attendu à Washington le 8 mai.
UE : la Commission publie une note sur les négociations commerciales agricoles A nouveau, la Commission fait preuve d’autosatisfaction. Dans cette note, elle se félicite des résultats du commerce agricole : de février 2018 à janvier 2019, les exportations agroalimentaires de l'UE ont atteint une valeur de 138,1 milliards d'euros (+0,1% /12 mois précédents). D’après la Commission, « les spiritueux et les liqueurs, le vin et le vermouth, ainsi que les pâtes et les pâtisseries ont été les principaux moteurs de la croissance des exportations ». « Ces excellents résultats reflètent les efforts constants déployés par l'Union pour ouvrir de nouveaux marchés mondiaux et promouvoir les produits agroalimentaires européens, ce qui constitue également un moyen de réduire l'écart entre l'offre et la demande affectant certains secteurs agricoles clés de l'Europe. Le Commissaire Hogan a poursuivi sa série d'offensives diplomatiques visant à promouvoir les produits européens dans le monde entier ». La Commission en profite pour faire l’état des lieux de l’ensemble des accords et des négociations en cours. Le 38ème cycle de négociations entre l'UE et le Mercosur s'est déroulé du 11 au 15 mars 2019 à Buenos Aires. La Commission rappelle qu’un certain nombre d'États membres de l'UE ont à maintes reprises exprimé de sérieuses préoccupations concernant les risques qu'un accord avec le Mercosur créerait pour les secteurs agricoles les plus sensibles de l'UE, notamment la viande bovine, l'éthanol, le sucre et la volaille. Elle insiste également sur la nécessité de maintenir des normes SPS et des normes de bien-être animal élevées. La note ne donne pas plus de détail. Même constat pour les négociations d'accords commerciaux avec l'Australie la Nouvelle-Zélande. Lors de la réunion du Conseil agricole du 14 mai 2019, ce point de la Commission sur les questions de négociations commerciales sera l'occasion d'échanger sur les sensibilités, les priorités de l'agriculture de l'UE dans les négociations de l'UE en cours et à venir. C’est notamment le cas pour les négociations avec la Nouvelle-Zélande, les plus avancées actuellement.
Retrouvez toute l'actualité des Rencontres Made In Viande en Bourgogne Franche-Comté sur notre page Facebook :
https://www.facebook.com/interbevbfc/
Retrouvez le guide de contractualisation de la section bovine en cliquant sur le "lien externe".
Un grand MERCI à toutes les personnes qui se sont investies pour que cette nouvelle édition des Rencontres Made In Viande se passent merveilleusement bien !
Une vidéo diffusée sur France 3 Bourgogne est également consultable :
https://www.youtube.com/watch?v=AMPa-yrQ7ks&feature=youtu.be&t=67&fbclid=IwAR3dJkZX5U5z-smSl8BGS-hkbjTXUYgkL8Pl6JNheJJH_7Vx6kzAff66FjU
Jean-Pierre Fleury aime son métier mais il est exaspéré. Pour lui, la viande frauduleuse ne devrait pas exister en France. La filière viande bovine française a établi un cahier des charges précis pour définir le produit "steak haché". Le produit doit être composé à 90% de muscle et 10% de gras issus du même animal. Cette exigeance, il aimerait la voir étendue à l'ensemble de la communauté européenne.
Pour l'éleveur et président d'Interbev Bourgogne Franche-Comté, le problème vient des appels d'offre de la restauration collective réalisés à l'échelle européenne. "Dans ces appels d'offres, on privilégie le moins cher, souligne Jean-Pierre Fleury. Cette notion de "peu cher" fait que les entreprises françaises ne sont pas compétitives dans les marchés. Ce qui fait qu'aujourd'hui 70% les trois publics qui correspondent aux grands appels d'offre - cantines scolaires, de maisons de retraite et des hôpitaux - est nourrie avec des viande importées." C'est l'un de ces grands appels d'offre qui est actuellement au coeur d'une polémique. 7 500 tonnes d'un steak sans viande, en provenance de Pologne où il est autorisé de les commercialiser sous l'étiquette "steak haché", ont été distribués à quatre associations caritatives par une entreprise française.
Le secours populaire de l'Yonne compte dans ses frigos 800 kilogrammes de ces steaks, composés seulement d'amidon, de gras et de soja agglomérés. "Nous avons aussitôt appelé notre entrepôt frigorifique, qui les a cantonnés et les a ramenés au stock. il faut rassurer nos bénévoles et les personnes que nous accompagnons : aucune distribution n'a été effectuée dans l'Yonne," précise Monique Augé, la présidente de l'association. L'État et la filière viande bovine ont saisi la justice. Les deux entreprises impliquées dans cette fraude, le transformateur polonais et le distributeur français, risquent une condamnation pour tromperie en bande organisée, délit passible de 2 ans de prison et 1,5 million d'euros d'amende.
Lien vidéo :
https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/yonne/auxerre/7-500-tonnes-faux-steaks-haches-livres-au-secours-populaire-yonne-1682742.html?fbclid=IwAR3N1BQDiWbCg7aI06Bhz2d0VeHYu4tSXXn-RPn04-fKyamwjSvxZNbaxw4
L'actualité d'INTERBEV en région BFC ! Retrouvez notre bulletin d'information de juin 2019. N'hésitez pas à le faire circuler :)
(Document disponible en cliquant sur le lien externe)
Document
Déplacement dans la Nièvre de 2 collaborateurs chinois travaillant pour INTERBEV en Chine.
Au programme : visite de 2 exploitations en Charolaises et d'un centre de tri
"Agriculteurs et éleveurs locaux vent debout contre le Mercosur" à lire dans Le Bien Public ce jeudi 11 juillet 2019
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L'actualité d'INTERBEV en région BFC ! Retrouvez notre bulletin d'information de septembre 2019. N'hésitez pas à le faire circuler :
Cliquer sur Lien externe pour accéder au Bulletin !
Foire Gastronomique de Dijon : clap de fin ce lundi 11 novembre !
Durant 12 jours, vous avez pu retrouver INTERBEV BFC sur le stand du Département de la Côte-d'Or. Cette Foire fut l'occasion de découvrir des producteurs de Côte d'Or et de déguster de la bonne viande cuisinée par des Chefs de renom ! Sur la Ferme Côte-d'Or les visiteurs ont pu découvrir les races de bovins présentes dans le département !
Les deux premiers jours de la Foire ont aussi permis à INTERBEV BFC accompagnée du Conseil Régional de BFC de mettre en avant la future égérie du Salon International de l'Agriculture de Paris : la Charolaise !
A l'année prochaine !
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Le 1er novembre M6 diffusait sur ses ondes l'émission "Objectif Top Chef". A cette occasion l'IGP Charolais de Bourgogne était partenaire. Sur Youtube vous pouvez retrouver la vidéo de présentation de l'IGP et de son éleveuse de Champlecy (lien voir ci-dessous) :
https://www.youtube.com/watch?v=Floh3SiaROE&feature=player_embedded&fbclid=IwAR3TXIj4R63YUb7jNzcGzkMTCbZvMxgFKuq2yBrrTrBz-qiuvo7dctXVYDw
Retrouvez l'émission complète sur M6 replay ou en cliquant sur "lien externe" !
Le 6 novembre dernier, la FDSEA de la Nièvre organisait une soirée consacrée à l'élevage. Retrouvez un résumé de cette soirée en cliquant sur le lien externe (extrait de Terres de Bourgogne n°1553 - vendredi 15 novembre 2019)
Retrouvez toute l'actualité d'INTERBEV BFC du mois de novembre en cliquant sur le "lien externe" !
Retrouvez toute l'actualité d'INTERBEV BFC du mois de décembre en cliquant sur le "lien externe" !
La conférence des résidents d’INTERBEV et le Comité Directeur d’INTERBEV ont validé l’admission au sein de l’Interprofession Elevage et Viande (représentant les secteurs bovins, ovins, équins et caprins) de la Fédération du Commerce Coopératif et Associé (FCA).
Le Collège Alimentaire de la FCA, dont E. Leclerc et Intermarché sont adhérents, participera désormais aux travaux engagés par la filière élevage et viande, apportant ainsi un soutien supplémentaire à son développement.
La FCA constitue aujourd’hui la 22ème Organisation Nationale d’INTERBEV et vient rejoindre les autres fédérations membres de l’interprofession : CFBCT, CNTF, COOBOF, Confédération Paysanne, Coop de France, Coordination Rurale, Culture Viande, ELVEA, FBHF, FCD, FEDEV, FFCB, FMBV, FNB, FNC, FNEAP, FNO, Restau’Co, SDVF et Section des Associations d’Eleveurs Ovins.
Chaque année, la Foire de la Sainte Catherine est le rendez-vous incontournable des éleveurs haut-saônois. Une partie d'entre-eux participera avec leurs animaux au concours de Bovins Gras qui seront mis aux enchères au cours de l'après-midi.
Dans l'espace occupé par les éleveurs, INTERBEV BFC tiendra un stand à leur intention. Les visiteurs auront par ailleurs la possibilité de déguster de la viande charolaise offerte par l'interprofession.
LE CONCOURS VITRINES DES APPRENTIS BOUCHERS : 14ème édition !
Ce concours s'est tenu lors du Festival du Boeuf à Charolles du 1er au 2 décembre 2018.
La 14ème édition du concours de vitrines faisait concourir 25 binômes d’apprentis bouchers venus de toute la France et de Suisse. Bravo au CFA François Rabelais de Dardilly (69) qui a remporté ce concours.
Palmarès :
1ère vitrine - CFA François Rabelais Dardilly (69)
2ème vitrine - EFMA Bourgoin-Jallieu (38)
3ème vitrine - École Métier Dijon Métropole (21)
4ème vitrine - CFA du Roannais (42)
Samedi 1er et dimanche 2 décembre, INTERBEV Bourgogne Franche-Comté et INTERBEV Auvergne Rhône-Alpes étaient présentes au Festival du Bœuf à Charolles (71). 250 éleveurs et 700 bovins charolais participaient au plus grand concours de bovins de boucherie de France qui met en avant la viande de qualité produite dans le berceau de la race. 95% des bêtes sont vendues durant le weekend à des chevilles, des GMS et des artisans bouchers venus de toute la France.
Au cœur du Village de la Viande, qui regroupait l’ensemble des acteurs de la filière bovine, le stand d’INTERBEV proposait des animations et des jeux. La visite officielle, qui a débuté sur le stand d’INTERBEV, a permis aux différents responsables professionnels et aux élus de s’exprimer.
Ce lundi l'équipe de la Kitchen Music s'est invitée au menu du Restaurant Universitaire Lumière du CROUS de Besançon.
Au programme dégustation d'une recette de boeuf proposée par le chef : boeuf mariné dans une sauce soja, gingembre et graines de sésame, le tout en musique.
Cet évènement était l'occasion de faire découvrir aux étudiants le site "La viande 1 idée par jour" qui propose une recette à base de viande par jour et des articles en lien avec la viande. (http://www.laviande1ideeparjour.fr)
A la fin du service au moment de déposer leurs plateaux, une borne photo était à disposition des étudiants leur permettant également de participer au tirage au sort pour remporter un livre de recettes à base de boeuf.
Cet Atlas sera à télécharger sur le site :
http://www.la-viande.fr/environnement-ethique/atlas-regionaux
Suite à la fusion des régions Bourgogne et Franche-Comté en 2017, un nouvel Atlas a vu le jour ! l'Atlas Bourgogne Franche-Comté de l'élevage herbivore !
Au travers de cet ouvrage, INTERBEV et INTERBEV Bourgogne Franche-Comté souhaitent donner à tous les professionnels, élus, journalistes, enseignants qui le souhaitent, une vision grand angle de l’élevage et de ses filières.
Vous pouvez contacter INTERBEV Bourgogne Franche-Comté afin d'obtenir votre exemplaire de l'Atlas :
mail : contact@interbev-bourgognafranchecomte.fr
courrier : 1 Rue des Coulots, 21110 BRETENIERE
D'ici quelques jours, l'Atlas pourra également être téléchargé en PDF sur le site http://www.la-viande.fr/environnement-ethique/atlas-regionaux
INTERBEV BFC est maintenant visible sur Twitter #InterbevBFC
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Les journées MADE IN VIANDE se tiendront du 22 au 29 mai 2019. Pensez à noter les dates.
FAITES PASSER LE MESSAGE : Les inscriptions pour les établissements scolaires sont dès à présentes ouvertes.
Connectez-vous sur le site www.interbev-pedagogie.fr à la rubrique MADE in VIANDE “J’inscris mon établissement”.
Remplissez ensuite le formulaire dédié aux visites scolaires et le tour est joué.
N'hésitez pas à nous demander le guide pratique d’accueil des scolaires en visites-découvertes (téléchargeable également sur le site). Il vous accompagnera pas à pas dans la préparation de votre sortie pédagogique, avec vos élèves.
Pour toutes informations complémentaires vous pouvez nous contacter directement par mail (contact@interbev-bourgognefranchecomte.fr) ou via Facebook @interbevbfc .
Première édition de la Kitchen Music à Dijon. Ce jeudi 13 décembre l'équipe de la Kitchen Music a posé sa plancha et sa musique au Restaurant Universitaire Montmuzard du Crous de Dijon. Les étudiants ont pu déguster de l'onglet de boeuf cuit à la plancha et découvrir le concept "La Viande 1 idée par jour" par La viande. Ils ont pu repartir avec une photo souvenir grâce à la "borne photo".